Le terme « hallali », emprunté à la chasse, désigne le moment qui précède la prise ou la mise à mort de la proie. La symphonie dite « du destin », la cinquième de Beethoven, évoque également ce moment décisif ou tout est sur le point de basculer, définitivement.
Hallali ou la 5ème de Beethov’ est un tableau qui évoque les stéréotypes sur le cirque (fantasme de vol, d’évasion, de suspension du temps) et s’en amuse tout en conservant une teneur poétique et esthétique.
Une troupe d’acrobates aériens s’apprête à jouer un spectacle. Ils s’échauffent, s’entraînent, se cherchent des noises, s’énervent, se calment, se réfugient ou s’engouffrent dans leurs peurs et vivent des fantasmes les plus délirants.
Cette nouvelle création des Philébulistes, comme la précédente, s’appuie sur une nouvelle technique acrobatique basée sur l’invention d’un agrès de voltige (un cadre coréen tournant sur lui-même).
Equipe
Directeur artistique / Interprète / Co-auteur : Maxime Bourdon. Metteur en scène : Jérôme Thomas. Co-auteur : Jean-Michel Guy. Interprètes : Arne Sabbe, Audrey Louwet, Luke Horley, Basile Forest, Vivien Le Floc’h. Directeur technique / Régie son : Marc Cixous. Régie plateau : Matthieu Rouquette. Création sonore : Hyacinthe Mazé. Création lumière : Laure Andurand. Création costumes : Solenne Capmas. Accessoires : Sarah Anstett. Production / diffusion : Jean-François Pyka. Production / administration : Floriane Soyer.
Partenaires
Le Fourneau à Brest (29) – Centre National des Arts de la Rue